Wall Street, dans les années 1850. Un ...
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Ce qu'en dit l'éditeur :
Wall Street, dans les années 1850. Un juriste mène avec ses deux copistes Dindon et La Pince, et son garçon de courses Gingembre, une vie de bureau morne et régulière. Il engage un jour un étrange jeune homme aux allures de spectre qui, très vite, refuse de travailler – sans pour autant quitter les lieux. « J’aimerais mieux ne pas », ne cesse-t-il d’opposer pour tout argument au narrateur tantôt estomaqué, tantôt furieux, suppliant, en proie à la mauvaise conscience… Comment chasser de ses bureaux – et surtout de ses pensées – cet être apparemment faible et démuni, mais dont la résistance se révèle aussi implacable qu’incompréhensible ?
Buck, le chien géant héros de L’Appel de la Forêt, connaît un destin inverse à celui du célèbre Croc-Blanc : « aristocrate » gâté, élevé dans une souriante vallée du Sud, il se trouve précipité en pleine ruée vers l’or dans la haine et la barbarie, et doit renouer avec ses instincts les plus primaires pour survivre. Il connaîtra un temps un amour absolu pour un homme des bois, rude et juste. Mais à la mort de ce maître adoré, plus rien ne le retiendra pour répondre enfin à « l’appel de la forêt », et devenir le chef redouté d’une horde de loups sauvages.
En se plaçant dans la tête d’un chien, London nous parle de l’homme. De sa violence comme de ses aspirations au meilleur. Des duretés de sa vie, comme de ses joies, et de sa grandeur. Cet album est la première version illustrée à l’huile, en grand format, de ce magistral roman.
Qui est l’étrange Hyde au corps difforme et aux manières brutales, bientôt accusé d’un crime odieux – mais qui semble avoir ses entrées chez l’honorable docteur Jekyll ?
Et pourquoi Jekyll lui-même se coupe-t-il de ses meilleurs amis, à intervalles réguliers ? Mr Utterson, notaire intègre et sévère proche du docteur, mène l’enquête. La vérité lui fera froid dans le dos…
Un récit mené de main de maître, qui présente l’originalité de varier les points de vue en donnant la parole alternativement aux divers protagonistes de l’affaire.
Une réflexion sur le bien et le mal et la dualité de la personne humaine soulignée par une montée en puissance du suspense et de la tension narrative, à la limite du tolérable – qui a fait le succès de cette œuvre célébrissime !
Une nuit d’hiver, cinq amis discutent du secret que détiendrait la comtesse Anna Fedotovna : trois cartes gagnantes à coup sûr au jeu. Fasciné, Hermann, jeune officier pauvre témoin de la scène, séduit Lisabeta Ivanovna, la demoiselle de compagnie de la comtesse, afin de s’introduire auprès de la vieille dame. Mais lorsqu’il la menace avec son arme, la comtesse meurt d’effroi…La nuit de l’enterrement, son fantôme entre chez Hermann et lui révèle la combinaison : trois, sept, as. Hermann joue les deux premières cartes avec succès. Le troisième soir, il place tous ses gains sur l’as. Or, c’est la dame de pique qui sort alors, à la place de l’as ! Et cette dame a la figure de la comtesse et lui adresse, de nouveau, un clin d’œil moqueur…Épouvanté, Hermann sombre dans la folie.
L’an mil. Leiv, jeune Viking de 12 ans parti venger son père assassiné, fait naufrage au large du Groenland. Il est recueilli par deux enfants Inuit du même âge, qui vont lui apprendre leur langue et leur mode de vie, fait d’humour, de tolérance et d’amitié. Séduit, le jeune Islandais décide de « devenir un Être Humain », ainsi que se qualifient eux-mêmes les Inuits.
Dans la deuxième partie, les trois amis affrontent une bande de pillards sanguinaires, tandis que les deux jeunes Inuits découvrent avec étonnement la culture des fermiers nordiques venus s’installer sur les côtes groenlandaises.
Enfin la troisième partie met en scène le trio mûri : à 16 ans, Leiv, Narua et Apuluk sont prêts à partir pour le grand voyage de leur vie – et l’amour, bien sûr, sera de la partie !
À tout juste dix-huit ans, Roderick le ...
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Ce qu'en dit l'éditeur :
À tout juste dix-huit ans, Roderick le citadin découvre la rude vie des trappeurs du Grand Nord canadien, avec son ami Wabi et le vieux guide Mukoki. Dans l’immensité blanche, survivre est une lutte de chaque instant, et les liens qui unissent le trio ne seront pas de trop, malgré leur courage et leur appétit d’aventure. D’autant qu’une terrible tribu ennemie, les Woongas, est en embuscade...
Dès la scène inaugurale, saisissante, Curwood entraîne ses lecteurs au galop dans les péripéties de ce roman culte paru en 1908, où la beauté d’une nature grandiose le dispute à la férocité de la vie sauvage. Sens du récit, suspense, quête, amour naissant entre Roderick et l’intrépide Minnetaki, les ingrédients sont réunis pour un ouvrage à couper le souffle – surtout quand c’est l’immense Anton Lomaev qui tient le pinceau !
Par une chaude nuit d’été, Watson s’enfonce dans les bas-fonds de Londres à la recherche d’un homme en perdition – et tombe sur Sherlock Holmes, grimé en vieil opiomane.
C’est le début d’une fascinante enquête qui mènera le célèbre duo des salons cossus d’une belle villa des environs de Londres, à la cellule humide et sordide d’un commissariat de quartier.
Chacun y jouera des apparences pour tromper son monde. Mais le grand Sherlock Holmes saura dénouer les fils de l’intrigue, dans un final éblouissant et spectaculaire !
Un certain futur, pas si lointain peut-être. Le monde civilisé n’existe plus. Des enfants survivent sur des montagnes de déchets, qu’ils trient inlassablement pour revendre aux plus grands ce qui semble monnayable. On les appelle les mouches. Parmi eux, une petite bande, à laquelle appartient Lizzy. C’est elle qui nous raconte comment, un jour, l’un d’eux trouve un drôle d’objet dont on pense qu’il ne sert à rien (à l’image, on découvrira à la fin qu’il s’agit d’un livre). Les enfants, accompagnés de leur chef, partent pour Grand Bazar, la ville au-delà du désert, afin d’en savoir plus et qui sait, d’en tirer un bon prix…
Qui ne connaît l’affrontement obsessionnel, digne des grandes tragédies antiques, entre le capitaine Achab et la célèbre baleine blanche ?
Et pourtant, jamais cette aventure mythique n’avait été illustrée à ce format à un tel niveau d’images, avec quasiment un tableau en vis-à- vis de chaque page. Cette édition fera date, tant pour le jeune public, auquel elle offre un point d’entrée somptueux dans l’univers de Melville – que pour les nombreux amoureux de cette œuvre unique du patrimoine.
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