Au printemps 1919, Masereel ouvre les ...
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Ce qu'en dit l'éditeur :
Au printemps 1919, Masereel ouvre les fenêtres de son atelier pour laisser passer la lumière et réaliser les soixante-trois gravures sur bois de son nouveau roman en images : Le Soleil.
L'inspiration tardant à venir, il s'assoupit tout en laissant sortir de sa tête un alter ego qui se met à vouloir saisir l'inaccessible étoile. Prenant ses jambes à son cou, il se met à courir les rues et battre la campagne, à grimper quatre à quatre les escaliers, à monter aux cheminées et dans les arbres, à se hisser en haut d'une grue ou du mât d'un voilier, à surfer sur la crête d'une vague pour toucher du doigt le Soleil.
Un voyage allégorique et onirique vers ...
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Ce qu'en dit l'éditeur :
Un voyage allégorique et onirique vers un idéal de lumière. Parfois brûlante. Une quête éternelle. En 63 bois gravés par l'un des précurseurs du roman graphique. Sans paroles.